La question de l’égoïsme écartée, on peut tout de même se demander si l’on fait face à un déni. Il est évident que le déni existe quant à la façon dont nous devons changer nos modes de vie pour conserver un monde habitable et en paix. Mais va t-il jusqu’à masquer dans nos esprits les conséquences du monde qui se profile sur la vie de nos enfants ?
Est-ce que l’espoir qui est dans toutes les bouches lorsque l’on parle d’enfant et d’avenir est alimenté par ce déni, en est-il la cause ? Ou bien la conséquence d’un mouvement de résistance envers ce monde que l’on rejette ?