Ce mini scénario est inspiré de faits réels vécus par Mohamed Moulay, 12 ans au moment des faits, décédé en 2012. Mohamed cachera la dague en question jusqu’au jour où celle-ci fut produite au procès en diffamation intenté par le « lieutenant » à l’encontre d’un grand quotidien du soir ayant révélé, entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2002, la participation de celui-ci à des tortures durant la bataille d’Alger. Sur la lame du poignard en question – dont étaient dotées les Jeunesses hitlériennes – étaient gravés son nom ainsi que celui du régiment auquel il appartenait. Il perdra son procès.