La vie des maladies orphelines reléguées dans une pension anglaise.

Max Obione avec pudeur, sensibilité et noirceur évoque ces maladies dites orphelines, rares également. On constate encore le manque de recherche active pour traiter ces affections très invalidantes. Ce qui n'exclut pas l'empathie grâce à l'émotion qu'apporte la lecture sensible de Jeanne Desaubry.