Entre la sortie du conservatoire et l'entrée dans la carrière, il y a un sas dans lequel on a de quoi se poser beaucoup de questions. C'est pourquoi on s'y est repris à trois fois pour interroger le ténor Antonin Rondepierre, des cours qu'il a pu avoir de Philippe Jaroussky jusqu'aux aveux sur ses hésitations à savoir s'il veut vraiment chanter du Mozart.