Ouest Track Radio

Léa Démare, étudiante en droit, vient de sortir son tout premier roman, Bienvenue à Gris, publié aux éditions Baudelaire. 

Vous pouvez retrouver son livre ici. 

Une partie de l'équipe de la Papas Production qui regroupe Le Tetris, la Radio Ouest Track et le Festival Ouest Track s'est prêtée au jeu de "La playlist de l'équipe". Découvrez tout au long de l'été l'équipe, leurs coups de cœur musicaux et leurs souvenirs liés à la musique.

Aujourd'hui c'est Maxime qui est au micro !

Pour la suite de notre échange avec Théophile sur la programmation de la deuxième édition des Nuits Suspendues, nous avons eu l'occasion de nous rendre au premier jour du festival !

Profitez de cet échange avec quelques festivaliers et d'extraits de prestations des différents artistes : Théo Charaf, Mountain Men et Fantastic Negrito

On se retrouve l'année prochaine à la potentielle troisième édition des Nuits Suspendues ?

En 2016, nous tombions sous le charme de "Communion", premier album de PARK JIHA. Son second opus (sorti en 2019) prolonge cet enchantement. Solénoïde vous offre un nouveau focus sur "Philos" (Glitterbeat) dans lequel la multi-instrumentiste nous emmène dans des espaces sonores intimistes à la croisée de la tradition instrumentale coréenne et des musiques répétitives occidentales. Un album qui nous renvoie de la Corée l'image d'un paradis musical contemplatif.

Un autre habitué de Solénoïde, l'infatigable MICHEL BANABILA revient avec "Uprooted", un album où 7 musiciens improvisent individuellement (Peter Hollo au violoncelle, Alex Haas au synthé, Gareth Davis à la clarinette basse, Oene van Geel à la viole de gambe, Stijn Hüwels à la guitare et Gulli Gudmundsson à la contrebasse). A partir de ces enregistrements, il a créé ses propres compositions, des pièces atmosphériques polymorphes, fruit d'une habile interaction entre musique électronique, musique de chambre et free music.

Et AL GROMER KHAN nous dévoile divers lieux qui ont marqué son existence, des lieux d'inspiration ou de révélation; dans "In High Places" (Zustand), il étoffe son style en opérant de subtiles variations autour des figures aériennes de son sitar.