Il existe des contrées sonores qui n’apparaissent sur aucune carte. Des territoires discrets, faits de brume, de bois, de souffles, de fragments de silence et de mélodies en suspension. La 59e étape de la Grande Boucle s’ouvre comme un herbier sonore : chaque morceau y est une feuille rare, fragile, cueillie aux marges du réel.

Cette semaine, Solénoïde déplie un territoire intérieur. Un hexagone imaginaire, traversé non par des autoroutes sonores, mais par des sentiers de traverse — sinueux, sensibles, sensoriels. Une France des limbes et de l’instinct, de l’expérimentation douce et des rituels lents. Ici, on n’écoute pas pour consommer. On écoute pour se perdre. Pour flotter. Laissez tomber la carte ! Suivez les éclats !

Playliste détaillée sur https://solenopole.com/grande-boucle-59/